L1, GO! (Go: (interj.) = BAAASE en vieux BLMSpagn'oil) Le B gagne au jeu "c'lui qu'a les dégaines au cul démarre en premier". Et c'est parti pour un 6c/A0 (et non pas 6c ou A0, nuance de taille dont nous commencons doucement à percevoir toute l'importance) (ph.: Le Jouy) | |
Le pas d'A0 ... de la longueur (ph.:MBO) | |
Le Jouyde pose les pieds pour une première longueur qui alterne bourrinage en règle (pas de 6c, puis pas d'A0) et finesse sur le final (ph.:MBO) | |
Joli caillou (ph.:MBO) | |
La cité de Stendhal, pas bien loin! (ph.:MBO) | |
L2, après un départ en gravier vertical plus ou moins agloméré, la suite remonte une belle écaille, presque chamoniarde pourait on dire avec un poil d'imagination, oui, c'est ça!... (ph.:MBO) | |
L3 et sa photogénique traversée (ph.: Le Jouy) | |
Le photophone fait des siennes et shoote quand bon lui semble, en général, après 2 minutes d'essais infructueux, le temps de faire monter un peu l'acide lactique dans les bras du cobaye qui sert de modèle et qui n'en demandait pas tant (ph.: Le Jouy) | |
Fin de la traversée, il faut reprendre la direction de la verticale... (ph.: Le Jouy) | |
L3 toujours mais en reverse camera. Au global un soit disant 6c... plutot un bon 7a conti de l'avis général (le ficelou qui pendouille dans le premier pas bien dur semble confirmer la chose) (ph.:MBO) | |
Fanfan sort les pinces (ph.:MBO) | |
Au dessus de la vire médiane (à ne pas parcourir avec 5 cm de neige humide au risque de finir comme base Lionel terray, soit dit en passant), le B attaque L5, un 7a bien bien corsé! Quelques repos et un bon BAAAAASE avec un crochet talon bien haut et une reglette qui reste dans les mains seront nécessaire pour ce défaire de cette longueur malgre tout bien jolie (ph.: Le Jouy) | |
Autoportrait aux bouclettes (ph.: Le Jouy) | |
Le Jouy en finit de ce 7a. Indécotable, vous avez dit indécotable? (ph.:MBO) | |
Belle lumière dans L6, 7a+. Fanfan dans une phase encore très "oui, c'est ça!" avant de lacher un "finalement non!" ... retour à la case relais. (ph.:MBO) | |
Le B s'y colle, plus à l'aise que dans la longueur précedente. Il faut dire que les pas sont souvent morphos, ce qui n'est pas pour lui déplaire. Il manquera quand même un chouilla de conti pour l'enchainement. (ph.: Le Jouy) | |
Fanfan - à la recherche de la méthode perdue - s'escrime dans le crux de L6 (ph.:MBO) | |
Le même au quasi même endroit en flagrant délit de LTA-enchainement (ph.:MBO) | |
L7, et son environnement végétatif qui tranche avec les 2 magnifiques longueurs précédentes (ph.:MBO) | |
L9, ultime longueur (6a+) se faufilant sur le rocher le plus propre de l'endroit. Tirage de langue de rigueur pour ce passage qu'aucun qualifierait de rieur au vue du reste de la voie. (ph.:MBO) | |
Ultimes mouvements de la voie, l'orage encore imperceptible ne va pas tarder à se déchainer sur la cuvette Grenobloise, Baaaaase!! Finalement, en 5 rappels rondement menés, la descente se fera au sec (le rappel qui enchaine le 7a et le 7a+ fait 52m et passe juste nickel avec l'élasticité...gaffe!) (ph.: Le Jouy) | |
46 secondes après que nous avons posés nos pieds sur la terre ferme, l'ensemble des satellites géostationnaires de la Lansbotek se mettent en branle et préviennent ZiGaide de notre disponibilité. Celui ci délaisse quelques instants sa dulcinée pour téléphoner aussitot au Jouy. Un double HIIIIIIIIIIIIN tonitruantissime se fait entendre de Claix à Copenhague, le contact est aussitot établi! A noter que le flux de connerie sera de courte durée pour une sombre histoire de taxation téléphonique internationale, comme quoi, il ne fait pas bon perdre son statut de rentier! (ph.:MBO) |